Note test

Trois jours de grimpe sur la Côte-Nord

Départ de Québec à 5 h vendredi dernier. Plutôt à 6 h 20 le temps de paqueter 5 gars dispersés dans la ville, leur barda de camping, leurs skis, leurs traîneaux et leur équipement d’escalade dans la minivan louée spécialement pour l’occasion, et l’occasion, d’ailleurs, elle est belle : 3 jours de grimpe printanière sur la Côte-Nord le long de la rivière Sainte-Marguerite, près de Gallix, près de Sept-Îles, loin du reste.

p.setup = function() {
  p.createCanvas(800, 120);
  p.noStroke();
}

p.draw = function() {
  p.background(p.theme.background);
  
  let colors = [
    p.theme.red, p.theme.orange, p.theme.yellow, p.theme.green,
    p.theme.cyan, p.theme.blue, p.theme.purple, p.theme.pink
  ];
  
  let rectWidth = p.width / colors.length;
  
  for(let i = 0; i < colors.length; i++) {
    p.fill(colors[i]);
    p.rect(i * rectWidth, 0, rectWidth, p.height);
    
    // Add a subtle pulse effect
    let pulse = 0.8 + 0.2 * p.sin(p.frameCount * 0.05 + i * 0.5);
    p.fill(colors[i]);
    p.rect(i * rectWidth, p.height * (1 - pulse), rectWidth, p.height * pulse);
  }
}

Départ de Québec à 5 h vendredi dernier. Plutôt à 6 h 20 le temps de paqueter 5 gars dispersés dans la ville, leur barda de camping, leurs skis, leurs traîneaux et leur équipement d’escalade dans la minivan louée spécialement pour l’occasion, et l’occasion, d’ailleurs, elle est belle : 3 jours de grimpe printanière sur la Côte-Nord le long de la rivière Sainte-Marguerite, près de Gallix, près de Sept-Îles, loin du reste.

H2 Problem : A Missing Rhythm

Here a h3 beneath a h2

Le soleil de mars, des cafés Tim Hortons avec des rebords perdants et Québec Redneck Bluegrass Project ont tôt fait de décoller nos paupières pendant que la minivan remplie presque à ras bord file sur la 138, traversant l’épique boulevard Sainte-Anne, les montagnes de Charlevoix, notre fjord national, un petit bout de la Côte-Nord…

Tsé quand ça va ben, Que c’est un de ces matins, Quand ça va ben, Que tu travailles pas demain…

Mais malheur, Baie-Comeau à peine dépassée, la route sinueuse franchit plusieurs rivières libres de glace. L’inquiétude gagne la troupe : notre plan implique de skier quelques kilomètres sur une rivière, de préférence gelée ; nos traîneaux surchargés flottent mal.

Heureusement, nos craintes sont vite apaisées lorsque la majestueuse Sainte-Marguerite apparaît au détour d’un virage dans sa largeur de lac et sa blancheur de banquise qui monte vers le nord. Toujours portés par les tounes de ski-doo de QRBP, on remplit les traîneaux et on part sans lambiner, un ski devant l’autre à un rythme digne d’Alex Harvey.

Here’s A big one

Du moins, c’est ce qu’on croit jusqu’à ce que deux motoneigistes nous doublent à toute vitesse, non sans avouer nous trouver pas mal motivés pour des escargots partis de Québec le matin même : Envoye fourre, défourre Réguenne, déreguenne, Pis crinque, ar’crinque, Pis donnes-y du choke ! C’est qu’on aimerait bien grimper avant la fin de la journée, nous.

H3

Les premières cascades au bord de la rivière sont bien cuites, ce qui ne laisse rien présager de bon pour celles, plus loin, qui nous iwefntéressent. Le soleil de mars serait-il déjà venu à bout des célèbres cascades de la Sainte-Marguerite ? La vue de L’Escalier, immense pyramide de glace presque aussi large que haute, nous rassure.

H3 Title

H4 subtitle

Un peu plus loin, au centre d’un amphithéâtre d’où s’écoulent de longues cascades, les 180 mètres de glace du Pilier Simon-Proulx font saliver pour le lendemain, mais les autres voies semblent moins invitantes : La Souris mexicaine n’est pas sortie de son trou, Speedy Gonzales connecte à peine et Le Mulot est dangereusement dégarni. Mais Jeff et P-A ne perdent pas espoir : de près, demain, ça aura l’air plus beau !

What about a big h1

And a small h3

Jeff, P-A et Francis décident aussitôt d’aller tâter de la glace pendant que François et moi allons monter le camp des deux prochaines nuits dans une baie non loin, à l’abri du vent. Pour les trois pressés tout de même pas plus rapides que le soleil, la grimpe se finit bien sûr à la frontale, comme il se doit. Mouches à feu qui s’éloignent puis se rejoignent jusqu’à toucher terre. Le reste n’est que bouffe réhydratée, Chemineaud, plans pour les prochains jours et histoires de grimpe comme d’autres racontent des histoires de pêche, comme il se doit. Mais même si la nuit est douce et claire à l’ombre des géantes, le sommeil a rapidement raison de nous.

Après une matinée bien grasse, vers midi nous nous dirigeons vers le Pilier Simon-Proulx, que nous grimperons à deux cordées : Jeff et François dans l’une, P-A, Francis – photographe officiel de l’expédition – et moi dans l’autre. P-A, qui a bien failli ne pas venir à cause d’une jambe récalcitrante, s’est bourré d’ibuprofènes et d’adrénaline et est prêt à grimper en tête les longueurs deux et trois, les plus verticales.

H2 Problem : A Missing Rhythm

Here a h3 beneath a h2

La brève approche en ski de fond sur une glace parfois précaire, puis dans un labyrinthe de buttons de neige donne lieu à quelques cascades le plus souvent involontaires. Une fois devant le Pilier, on comprend tout de suite que cette voie imposante, blanche aux reflets dorés, solidement agrippée à une paroi tantôt verticale, tantôt déversante, mérite sa place parmi les plus belles du Québec. Francis, qui prévoyait redescendre après une longueur ou deux au moyen d’une corde fixe et prendre des photos, abandonne bien vite ce projet de retraite devant la beauté de la voie : la corde demeurera au pied du mur.

Malgré quelques irritants – la glace bien rôtie par le soleil des derniers jours, une première chute en tête sur une vis pour ma part, un ATC laissé à Québec, Speedy juste à côté qui lance périodiquement des pépites d’or glacé ou de glace dorée… – la grimpe se passe plutôt bien.

H1 Title Pour y mettre plusieurs document dans une même page

H2 title première section

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

H2 Title deuxièmes sections

H3 title sous section

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

H3 Title sous section 2

H4 title détails

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

H4 Title détails

H5 title attention ici

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

H5 Title deuxieme point a ne pas oublier

H6 title petit détail

D’ailleurs, le photographe officiel a remisé son appareil photo et se concentre sur ses piolets, ses crampons et sa sueur – il le ressortira demain.

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

H6 Title

De son côté, P-A, qui a utilisé toutes ses vis sauf une, est forcé de faire une lunule pour le relais, ce qui nous laisse entièrement le temps de recevoir plein de glaçons sur la tête et les épaules tout en contemplant la magnifique vallée de la Sainte-Marguerite et les falaises abruptes qui nous entourent.

La cordée de deux progresse à bonne vitesse ; pour la nôtre, c’est autre chose. La verticalité presque parfaite de la deuxième longueur, combinée à la qualité douteuse de la glace, ralentit autant le leader que les seconds.

Pour la troisième longueur, nous empruntons le chemin que viennent de prendre Jeff et François, en partie dans un coin, ce qui offre davantage de possibilités pour les pieds, une glace moins mauvaise, et nous permet de rattraper une partie du temps perdu. Reste que nos deux acolytes redescendent déjà du sommet, 80 mètres plus haut…

H2 title et la on change de section

Quand nous arrivons à notre tour au sommet, un peu pas mal fourbus – pour Francis et moi du moins ; P-A, lui, est encore sur l’adrénaline, les ibuprofènes et la perspective du Chemineaud qui l’attend au campement –, le soleil a disparu depuis belle lurette de l’autre côté de la falaise, même si on peut tout de même apercevoir le golfe au loin. La descente se fera bien sûr à la frontale, comme il se doit. Fort heureusement, Jeff et François, qui sont déjà en train de souper près des tentes, ainsi qu’ils ne manquent pas de nous en informer par walkie-talkie avec un plaisir non dissimulé, ont déjà installé des lunules pour le rappel. Double ration de Chemineau pour ces braves salopards !

Fort heureusement, Jeff et François, qui sont déjà en train de souper près des tentes, ainsi qu’ils ne manquent pas de nous en informer par walkie-talkie avec un plaisir non dissimulé, ont déjà installé des lunules pour le rappel. Double ration de Chemineau pour ces braves salopards !

H3 title parce que ici on parle d’un truc différent

À la lueur des lampes, le rappel bien vertical a de quoi impressionner Francis qui, mine de rien, en est à sa première saison de glace : « On a grimpé ça ? » s’exclame-t-il en me rejoignant au premier relais, à la fois fier et incrédule. Oui, monsieur. Nos bras et nos jambes nous le rappelleront d’ailleurs dans les prochains jours !

H4 title et pourquoi bien faire les chose

Le reste n’est que bouffe réhydratée, Chemineaud, plans pour le lendemain et histoires de grimpe comme d’autres racontent des histoires de pêche, comme il se doit. Mais même si la nuit est encore plus douce et claire que la veille à l’ombre des géantes, le sommeil a une fois de plus raison de nous.

Fort heureusement, Jeff et François, qui sont déjà en train de souper près des tentes, ainsi qu’ils ne manquent pas de nous en informer par walkie-talkie avec un plaisir non dissimulé, ont déjà installé des lunules pour le rappel. Double ration de Chemineau pour ces braves salopards !

H5 title pour y mettre de l’attention

Pour notre dernière journée sur la Sainte-Marguerite, une fois le campement démonté, la cuisine enterrée, les traîneaux chargés, Jeff et P-A, renonçant à Speedy qui continue de se désintégrer au soleil, partent à la recherche d’exotiques petites cascades un peu plus haut sur la rivière : Fermez les écoutilles (eurk !), Mémoire d’un piolet (beurk !), Belvédère (pas pire pantoute à condition de passer là où c’est plus raide !).

H6 title ici s’implement une sous-section

Pour notre dernière journée sur la Sainte-Marguerite, une fois le campement démonté, la cuisine enterrée, les traîneaux chargés, Jeff et P-A, renonçant à Speedy qui continue de se désintégrer au soleil, partent à la recherche d’exotiques petites cascades un peu plus haut sur la rivière : Fermez les écoutilles (eurk !), Mémoire d’un piolet (beurk !), Belvédère (pas pire pantoute à condition de passer là où c’est plus raide !).

François et moi, qui n’avons pas encore grimpé L’Escalier, allons nous y amuser pour la journée, accompagnés du photographe officiel remis de ses émotions. Une fois le soleil brûlant passé à l’ouest après nous avoir bien brûlé le visage, depuis le haut de la voie nous apercevons deux petits skieurs qui reviennent vers nous, points noirs au milieu de l’immensité blanche de la rivière gelée.

Il est temps de redescendre puis de nous diriger vers Sept-Îles où nous attend la tante de François et un copieux repas sans bouffe réhydratée ni Chemineaud, mais avec quelques canettes de 50 et des histoires de grimpe comme autant d’histoires de pêche, comme il se doit. Et bien que nous ne soyons plus à l’ombre des géantes, le sommeil n’a cette fois encore pas à se démener beaucoup pour avoir raison de nous.

À la lueur des lampes, le rappel bien vertical a de quoi impressionner Francis qui, mine de rien, en est à sa première saison de glace : « On a grimpé ça ? » s’exclame-t-il en me rejoignant au premier relais, à la fois fier et incrédule. Oui, monsieur. Nos bras et nos jambes nous le rappelleront d’ailleurs dans les prochains jours !

function fancyAlert(arg) { 
	if(arg) { $.facebox({div:'#foo'}) } 
}

Pour notre dernière journée sur la Sainte-Marguerite, une fois le campement démonté, la cuisine enterrée, les traîneaux chargés, Jeff et P-A, renonçant à Speedy qui continue de se désintégrer au soleil, partent à la recherche d’exotiques petites cascades un peu plus haut sur la rivière : Fermez les écoutilles (eurk !), Mémoire d’un piolet (beurk !), Belvédère (pas pire pantoute à condition de passer là où c’est plus raide !).

Footnotes

You can add footnotes^[1] to your notes using the following syntax : ^[2] Il est temps de redescendre puis de nous diriger vers Sept-Îles où nous attend la tante de François et un copieux repas sans bouffe réhydratée ni Chemineaud, mais avec quelques canettes de 50 et des histoires de grimpe comme autant d’histoires de pêche, comme il se doit. Et bien que nous ne soyons plus à l’ombre des géantes, le sommeil n’a cette fois encore pas à se démener beaucoup pour avoir raison de nous.

Axe 3 : La Communication pour retisser les liens

Nous vivons à une époque où l’information est partout, mais la connexion est rare. Il est temps de remplacer la polémique par la curiosité et l’écoute.

• Des conseils de quartier renforcés : M’engager à renforcer le rôle des conseils de quartier pour que les décisions soient prises au plus près des préoccupations des citoyens de Vanier-Duberger.
• Consultations publiques authentiques : Mener de véritables consultations publiques où chaque voix compte et où l’information est accessible et transparente.
• Transparence des actions municipales : Assurer une transparence totale sur les actions de la Ville, pour que vous sachiez toujours où nous en sommes et pourquoi.
• Soutien aux médias locaux : Soutenir les médias locaux, essentiels à la vie démocratique de nos quartiers, pour une information de proximité riche et diversifiée.

Nous vivons à une époque où l’information est partout, mais la connexion est rare. Il est temps de remplacer la polémique par la curiosité et l’écoute.

Notre rêve est universel : bâtir un monde plus juste, solidaire et vivant. À Vanier-Duberger, je veux transformer ce rêve en chantier collectif – avec vous, et pour vous.

Donnez-moi votre appuie !

https://transitionqc.org/jappuie-transition-quebec-2-novembre/

Le lendemain, au grand désespoir de P-A qui tente en vain de nous convaincre de faire un « léger » détour par les monts Valin pour récurer vigoureusement la Dent de Dracula, nous repartons pour Québec sous le soleil de mars, toujours bercés par Québec Redneck pendant que la minivan remplie cette fois à ras bord file de nouveau sur la 138, traversant un petit bout de la Côte-Nord, notre fjord national, les montagnes de Charlevoix et surtout l’épique boulevard Sainte-Anne…

Fourre, défourre, Réguenne, déreguenne, Pis cule, recule pis colle, décolle, Déterre la laye, tire su’es patins, Au yabe, d’la marde je r’viendrai d’main !

Concept et Vision

L’idée Fondamentale

Créer une série de portraits photographiques en noir et blanc des résidentes et résidents du district de Vanier. Inspirée par la démarche humaniste de Richard Avedon dans sa série In the American West, ce projet vise à mettre en lumière les visages qui composent la véritable richesse de notre quartier, loin des clichés et des statistiques. L’expérience à déjà été essayer avec le project TransCharlevoix 2023 qui à connu un excellent succès.

« Vous Êtes vus »

Ce slogan est le cœur du projet. Répond directement à un sentiment souvent présent dans des quartiers comme Vanier : celui d’être invisible ou oublié des instances décisionnelles. C’est une promesse de reconnaissance, d’écoute et de considération.

Mandat, Cibles et Logistique

Objectif principal

Humaniser la campagne électorale en la centrant sur les gens, et non uniquement sur des promesses. Incarner concrètement les Valeurs de Justice sociale, d’échelle humaine et de démocratie participative de Transition Québec.

2. Le Défi de l’Affiliation Politique

Le Piège : “Je veux bien participer, mais je ne veux pas que les gens pensent que je vote pour Transition Québec.” C’est l’obstacle le plus courant et le plus légitime.
La Solution : Dissocier la Participation de l’Appui.

C’est le point crucial de l’argumentaire et du formulaire d’autorisation (“release form”). Nous devront verbaliser clairement et l’écrire noir sur blanc.

• Le Discours Clé : Au moment de demander leur participation, dites explicitement :

  “Je tiens à être très clair sur un point : votre participation à ce projet photo est un geste citoyen pour Vanier. Cela ne signifie en aucun cas que vous m’appuyez personnellement ou que vous endossez Transition Québec. Cela signifie simplement que vous acceptez de faire partie d’un portrait de notre communauté, de représenter une facette de notre quartier. L’important, c’est vous et Vanier.”

• Le Formulaire d’Autorisation
  Rédigez une phrase en ce sens dans le formulaire. Par exemple : “Je comprends que ma participation au projet ‘Vanier : Vous êtes vus’ est à titre citoyen et ne constitue pas un appui politique formel au candidat ou à son parti.”

• Le Pouvoir du “Non”
  Terminez toujours votre demande en disant : “Sentez-vous absolument à l’aise de refuser, je comprends très bien.” Cela enlève toute la pression et, paradoxalement, rend les gens plus ouverts car ils se sentent respectés.

Qui va se prêter au jeu ? Et comment les trouver ?

En étant clair sur les points ci-dessus, vous serez surpris du nombre de gens qui accepteront. Votre cible n’est pas tout le monde, mais ceux qui ont un attachement à leur quartier.

• Commencez par les terrains amis :
  • Les membres et sympathisants connus de Transition Québec. Ils seront vos premiers ambassadeurs.
  • Les responsables et bénévoles des organismes communautaires. Ils ont l’habitude d’être des figures publiques et comprennent l’importance de la communauté.
  • Les commerçants locaux fiers de leur quartier.
• Approchez les gens avec une histoire
  Plutôt qu’une approche à froid dans la rue, privilégiez les événements locaux, les parcs, les lieux où les gens sont détendus. Engagez la conversation avant de parler du projet.
• L’effet d’entraînement
  Une fois que nous auront 5–10 portraits de gens connus et respectés dans le quartier, les autres suivront beaucoup plus facilement. “Ah, Madame Tremblay du club de l’âge d’or a participé ? D’accord, je veux bien moi aussi.”

Ce n’est pas en cachant les risques qu’on réussit, mais en les transformant en une stratégie d‘authenticité. Ce projet sera puissant parce que nous prendrons le temps de respecter chaque individu, de clarifier l’absence d’affiliation politique et de transformer une utilisation en une collaboration.

C’est ça, la politique autrement.

Here’s a mermaid example

graph TD
  A[Start] --> B{Decision}
  B -- Yes --> C[Do something]
  B -- No --> D[Do something else]
  C --> E[End]
  D --> E

hope it helps

Fin de la note

Objectif principal

Humaniser la campagne électorale en la centrant sur les gens, et non uniquement sur des promesses. Incarner concrètement les Valeurs de Justice sociale, d’échelle humaine et de démocratie participative de Transition Québec.