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Portraits

L’être humain est trop complexe pour tenir dans une seule case.

Chaque photo où une personne apparaît — qu’elle soit au centre ou juste de passage — demande une attention particulière. Un regard. Une écoute. C’est une rencontre, même silencieuse. Photographier un visage, une posture, une présence… c’est toujours raconter une histoire.

Parfois, cette histoire est là, toute seule. Elle n’a pas besoin d’être dirigée. Comme dans un mariage, un reportage : l’authenticité est reine, il faut savoir s’effacer, attendre, capter sans brusquer.

D’autres fois, elle se construit. En studio, en portrait corporatif. C’est un jeu d’équilibre : éclairer, guider, mettre en confiance, tout en laissant place à quelque chose de vrai. Une émotion qui traverse, une expression qui ne ment pas.

Souvent, ce sont des gens qui n’ont pas choisi d’être là. On leur a demandé de faire un portrait parce qu’on refait le site web de l’entreprise. Ils n’ont pas vraiment envie. Et me voilà, inconnu dans leur journée, avec mon appareil et mon timing.

C’est là que tout se joue : créer un environnement où ils peuvent se déposer un instant. Où quelque chose se révèle. Où le regard devient un frisson.

Il y a mille façons de capter l’humain.

C’est un sujet exigeant, qui demande autant de technique que de délicatesse. Mais c’est aussi, encore aujourd’hui, l’un de mes terrains préférés. Parce que derrière chaque photo, il y a une vraie personne. Et ça, ça ne me lasse jamais.

L’être humain est trop complexe pour tenir dans une seule case.

Chaque photo où une personne apparaît — qu’elle soit au centre ou juste de passage — demande une attention particulière. Un regard. Une écoute. C’est une rencontre, même silencieuse. Photographier un visage, une posture, une présence… c’est toujours raconter une histoire.

Parfois, cette histoire est là, toute seule. Elle n’a pas besoin d’être dirigée. Comme dans un mariage, un reportage : l’authenticité est reine, il faut savoir s’effacer, attendre, capter sans brusquer.

D’autres fois, elle se construit. En studio, en portrait corporatif. C’est un jeu d’équilibre : éclairer, guider, mettre en confiance, tout en laissant place à quelque chose de vrai. Une émotion qui traverse, une expression qui ne ment pas.

Souvent, ce sont des gens qui n’ont pas choisi d’être là. On leur a demandé de faire un portrait parce qu’on refait le site web de l’entreprise. Ils n’ont pas vraiment envie. Et me voilà, inconnu dans leur journée, avec mon appareil et mon timing.

C’est là que tout se joue : créer un environnement où ils peuvent se déposer un instant. Où quelque chose se révèle. Où le regard devient un frisson.

Il y a mille façons de capter l’humain.

C’est un sujet exigeant, qui demande autant de technique que de délicatesse. Mais c’est aussi, encore aujourd’hui, l’un de mes terrains préférés. Parce que derrière chaque photo, il y a une vraie personne. Et ça, ça ne me lasse jamais.






















Francis Fontaine